15 décembre 2009
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M. Poignant consent un problème de méthode mais ne concède rien sur le fond :
Ouest France du 15 décembre, version internet :
Le maire de Quimper, Bernard Poignant, a tenu à expliquer sa décision de fermer trois écoles dans le centre-ville et le quartier d’Ergué-Armel à Quimper : « Je reconnais l’effet surprise de cette décision sur les parents, même s’ils n’ignoraient rien de la situation. Je n’ai pas trouvé de méthode idéale pour une décision difficile à prendre. Fallait-il concerter pour fermer ? On m’aurait pris pour un hypocrite. J’accepte les critiques sur ce point […] Il y avait une autre solution : ne rien faire. C’est ne pas penser à l’avenir de l’enseignement public. Or, la ville est profondément attachée à l’organisation de l’enseignement public sur son territoire […] Il faut préciser que la Ville a perdu près de 2 000 élèves en moins de vingt ans et près de 400 élèves depuis 2004. »
Communiqué de Presse
M. Poignant en faisant des amalgames nous prend pour des imbéciles. Ce n'est pas digne.
Contrairement à ce qu'avance M. Poignant, rien ne laissait présager la nécessité de fermer le Petit Parc, surtout pas des problèmes d'effectifs comme il le laisse à penser, si ce n'est la volonté du gouvernement de mettre un terme aux petites structures et à la scolarisation des moins de 3 ans.
Nous sommes encore une fois surpris de voir le Maire socialiste de notre ville appliquer si docilement les préceptes du Minsitère de l'Education, alors que le Maire doit être une force de proximité.
Ouest France du 15 décembre, version internet :
Le maire de Quimper, Bernard Poignant, a tenu à expliquer sa décision de fermer trois écoles dans le centre-ville et le quartier d’Ergué-Armel à Quimper : « Je reconnais l’effet surprise de cette décision sur les parents, même s’ils n’ignoraient rien de la situation. Je n’ai pas trouvé de méthode idéale pour une décision difficile à prendre. Fallait-il concerter pour fermer ? On m’aurait pris pour un hypocrite. J’accepte les critiques sur ce point […] Il y avait une autre solution : ne rien faire. C’est ne pas penser à l’avenir de l’enseignement public. Or, la ville est profondément attachée à l’organisation de l’enseignement public sur son territoire […] Il faut préciser que la Ville a perdu près de 2 000 élèves en moins de vingt ans et près de 400 élèves depuis 2004. »
Communiqué de Presse
M. Poignant en faisant des amalgames nous prend pour des imbéciles. Ce n'est pas digne.
Contrairement à ce qu'avance M. Poignant, rien ne laissait présager la nécessité de fermer le Petit Parc, surtout pas des problèmes d'effectifs comme il le laisse à penser, si ce n'est la volonté du gouvernement de mettre un terme aux petites structures et à la scolarisation des moins de 3 ans.
Nous sommes encore une fois surpris de voir le Maire socialiste de notre ville appliquer si docilement les préceptes du Minsitère de l'Education, alors que le Maire doit être une force de proximité.
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